COVID, quelle aventure !

LA FOLLE AVENTURE DU COVID ET 3 ANS D'INQUIETUDE....

                                                                                                              Juste pour se faire une idée et choisir...

 

Si nous voulons comprendre quelque chose aux embrouilles de l'histoire du Covid, il faut aller à l’essentiel des évènements en oubliant le contenu des médias conventionnels.

En premier lieu, il faut le dire, la panique planétaire :

En 2019 c'est la ville de "Wuhan" en Chine où se trouve le siège du laboratoire de sécurité virale P4,  qui va être le lieu du début d’une épidémie par corona virus, où, aux dernières informations, la population a reçu préalablement une sorte de vaccin antigrippe obligatoire qui était chargé d’oxyde de graphène nanométrique.  L’insertion confidentielle d’oxyde de graphène n’apparaîtra que dans un brevet Chinois et pas dans le brevet US. 

Ceci sera dévoilé plus tard par la journaliste scientifique américaine Karen Kingston et en même temps une installation de 10 000 antennes relais 5G (chargée de la fréquence 60 gigaHertz,fréquence de résonance de l’oxygène) est effectuée à travers la ville de  Wuhan.

C'est à partir de janvier 2020 que des passants (dans Wuhan) tombent au sol dans la rue, foudroyés et laissés pour morts ; pourquoi... grande enigme.

En même temps il tombe  aussi sur le sol des milliers d’oiseaux et d’insectes morts en plein vol. Rien n'a été indiqué sur cet  aspect des choses, pourquoi, grande énigme ? Mais c'est alors qu'un virus nommé "C 19" est mentionné dans les journaux de tous les pays. Ce qui donnera l’alerte d’une pandémie en formation.

La presse annonce que le corona virus en question a pour origine des chauve-souris et des pangolins infectés, ces derniers étant vendus sur le marché de  Wuhan.

Nous noterons au passage qu'en 2011 l’institut Pasteur a déposé 2 brevets d’un vaccin  type ARNm contre une maladie épidémique dont on ne connaissait pas encore l’existence, à partir d’un coronavirus SRAS2 OGM ; donc qui n’existe pas à l'état naturel de notre nature 

Qu'a-il bien pu se passer à Wuhan ?

Il est possible, d'envisager comme possible, que l'installation des premiers émetteurs 5G émettant une onde qui  associée au graphène du vaccin ARNm a transformé les gens en antennes de réception , le faux  ennemi  appelé C 19,  a  sans doute permis de faire accepter un nouveau  vaccin pour un problème médical qui n'était peut être pas l'essentiel mais permettait de proposer le remède miracle avec les intérêt financiers qui en ont découles.

Une équipe internationale comprenant des chercheurs du CNRS, de l'université de Lorraine et du synchrotron Soleil a synthétisé et étudié des nanorubans de graphène hautement conducteurs à température ambiante. La mobilité des électrons y est 1000 fois plus importante que dans les puces de silicium, ce qui ouvre des perspectives pour l’électronique du futur.

Le graphène est un matériau constitué d'une seule couche d'atomes de carbone au potentiel exceptionnel. En effet, une feuille de graphène s'avère près d'un million de fois plus fine qu'un cheveu, plus résistante à la rupture que l'acier, tout en étant très légère. Physiquement, elle se présente sous la forme alvéolée d'un treillis en nid d'abeille.

En empilant des feuilles de graphène, on obtient le graphite (le matériau gris constituant la mine des crayons). Le graphène est en outre doté d'une très bonne conductivité électrique : les électrons s'y déplacent jusqu'à 200 fois plus vite à température ambiante que dans le silicium. Son énorme potentiel en électronique explique pourquoi il est étudié sous toutes les coutures.

Nota : Une collaboration de physiciens franco-américains s'intéresse depuis le début des années 2000 à ses propriétés électroniques. Leur principal objectif est de concevoir un matériau de très grande mobilité électronique à température ambiante. Les chercheurs ont démontré voilà quelques années que les nanotubes de carbone, l'une des formes de graphène les plus connues, peuvent transporter le courant électrique de manière balistique, c'est-à-dire sans atténuation au sein du matériau. Mais les nanotubes de carbone s'avèrent complexes à fabriquer et à insérer en très grand nombre sur une puce électronique. C'est pourquoi les chercheurs se sont tournés vers une autre forme de graphène : des rubans « plats ». Les similitudes de structure électronique entre nanotubes de carbone et rubans de graphène laissaient présager des propriétés de conduction analogues.

Le graphène est constitué d'atomes de carbone, mais le magnétisme est une propriété qui n'est pas associée au carbone.

Obtenu à partir du graphite et se présentant en feuillet d'une seule épaisseur d'atomes de carbone organisés en nid d'abeille, le graphène a une épaisseur inférieure au nanomètre (millionième de millimètre) et a été isolé pour la première fois en 2004.

Flexible, léger, ultrarésistant, transparent et excellent conducteur de l'électricité, il pourrait bientôt révolutionner nos appareils électroniques, être intégré à des écrans souples, améliorer les performances des composites en aéronautique, servir de capteur en recherche biomédicale, estime-t-on au CNRS, chef de file des chercheurs français.

Divers modes de production sont possibles en fonction du degré de perfection exigée. Les délais de développement et les coûts en dépendent.

«Le plus simple est de peler dans une solution chimique les millefeuilles de graphite issus des fonderies», indique M. Dujardin.

«La structure peut avoir des défauts, mais cette production pas trop chère - de l'ordre de 50 euros par kilo - intéresse Airbus pour ajouter 1% de graphène à ses fuselages en composites», dit-il. Il leur conférerait la conductivité qui manque traditionnellement aux composites et qui permettrait d'évacuer la foudre. Des expériences pourraient être réalisées d'ici trois ou quatre ans, selon le CNRS.

Pour obtenir des feuillets de meilleure qualité, on chauffe du méthane ou de l'éthylène à mille degrés au contact de feuilles de cuivre, et le carbone libéré se redépose en graphène sur le métal.

Ces graphènes pourraient se substituer dans les téléviseurs aux oxydes métalliques toxiques utilisés comme électrodes. Le Coréen Samsung sait déjà en produire un mètre par seconde en 60 cm de large. Le Finlandais Nokia développe des prototypes d'écrans souples pour téléphones portables intégrant le graphène.

La stabilité du graphène, sa structure plane favorisent la vitesse de circulation des électrons, ce qui ouvre la voie à la naissance d'une nanoélectronique. Mais il y faut un graphène de très grande pureté qui n'est pour l'instant obtenu que sur quelques millimètres carrés.

Les grands fabricants de composants comme STMicroelectronics ou Intel s'y sont essayés en faisant évaporer sous vide du carbure de silicium à 1400 degrés. 

On assiste aujourd'hui à une explosion des recherches pour créer des matériaux hybrides nouveaux en insérant des particules différentes dans chaque feuillet de graphène, puis en empilant les feuillets, constatent M. Dujardin et Mme Loiseau. Si l'horizon de production est plus lointain, des outils sont déjà développés à l'échelle du feuillet nanométrique, utilisant des pointes de la taille d'un atome.et de nombreux industriels, et pas seulement de grandes entreprises, ont montré à Toulouse leur implication dans ces innovations.

La France, avec 15 équipes venant du CNRS, des universités, de l'ONERA (Office national d'études et de recherches aérospatiales) ou d'entreprises comme Thales, compte bien garder une position de pointe en coordination avec l'Union européenne, dans un domaine en effervescence où la concurrence internationale est très forte avec les États-Unis et l'Asie.

 

Donc, la propriété de supraconductibilité électrique et surtout magnétique bien connue du graphène nanométrique agit sur les globules rouges puis

Les plaquettes arrivent alors en masse pour cautériser les millions de micro blessures, ceci créant autant de micro caillots qui épaississent le sang jusqu’à le transformer en  confiture . C’est un danger de mort pour beaucoup de personnes! 

Les autopsies des victimes montreraient des sites vasculaires dévastés avec un mélange de caillots et de débris de vaisseaux impressionnants.

Et c’est pour cela qu’il convient surtout pour les personnes vaccinés (3,4 ou 5 fois) de se faire établir un D dimer (Les D-dimères sont de toutes petites parties de fibrine, une protéine qui aide à la coagulation du sang. Comme souvent, leur présence est utile à l'organisme, lorsqu'elle n'est pas excessive. C'est pourquoi il est possible de mesurer leur quantité dans le sang) par un laboratoire médical qui pourra mesurer la viscosité du sang, la valeur en UI ne devant pas dépasser 10 fois votre âge (50 ans = 500 Ui). Mais qui en parle, pas grand monde (le secret reigne)?  

 

Vaccins  ou  panique générale destructrice :

La Quinta Culumna observatoire espagnol indépendant de la santé publique internationale, suite à l’analyse  des  vaccins  Pfizer et Moderna n’y a trouvé aucune trace de souche vaccinale de Covid, normal puisque ce virus chimère n’a jamais pu être capturé ni isolé, ce qui serait le facteur le plus important.

Par contre en plus du graphène, ils ont trouvé de PROTEINE SPIKE et de l’HYDROGEL DARPA qui sont deux poisons codants du génome.
La spike pénètre dans les cellules et les fait travailler à sa propre reproduction dans tout l’organisme. Ensuite elle détruit le programme immunitaire pour le remplacer par une réaction auto-immune de septicémie générale gravissime en cas d’attaque virale.

L’hydrogel facilite la pénétration cellulaire de la spike et inhibe la glande pinéale qui est un relai des informations cosmiques.

Il peut paraître  curieux qu’aucuns  virologues et épidémiologistes  mettent en doute cet aspect (à part Le Dr Astrid Stükelberger) et ne parlent de ces 3 responsables majeurs de l’hécatombe qui sévit depuis 3 années parmi les personnes vaccinées. serait ce l'omerta ?

 

La découverte de 3 lots de vaccins

Mais alors, diriez-vous  pourquoi tout le monde n’est pas handicapé ou terrassé après avoir été injecté par un des vaccins ?

La réponse est simple, c'est  la roulette russse. Effectivement si tout le monde était touché, la relation avec le vax serait évidente. Toutefois les analyses d’échantillonnages montrent l’existence de 3 lots :

Lots n° 1 ne contenant que du sérum physiologique

Lots n° 2 sous dosés (vous risquez d’être malade)

Lots n° 3 à dose maximum (risque de gros problèmes, voire de décès prématuré)

 

On notera au passage, face à l'ignorance, que :

-dans les EHPADS on a essayé de protéger avec beaucoup d’incertitudes sur l’efficacité et la tolérance du "Remdesivir".

-dans les hôpitaux on a fait absorbé au  grippés par corona du  paracétamol (ce qui est hautemetn déconseillé à présent)

-des milliers de grippés (covid C19) sans soins ont été confinés chez eux. Heureusements que le peuple chinois s'est rebellé  contre le confinement

  sinon ils y seraient encore certainement.

-on a interdit beaucoup de médicaments possibles et reconnus efficaces contre le C 19

-obligation d'un port de masque inadapté aux virus, seuls le smasques chiruurgicaux ont une réelle capacité (surtout en tissus dan sles début)et pour les enfants à l’école

-obligation de test PCR pas très fiables (pour obtenir les arrêts de travail par exemple sans consultation d'un médecin). Ca se pratique encore.

-avertissement envers les médecins qui guérissaient leurs patients avec des traitements retirés des pharmacies de France 

-les médias ont cachés les succès évidents des pays qui ne sont pas alignés sur les recommandations de l’OMS.

 

Certainement une histoire sans fin :

Et sans doute qu'en raison du fait que le Covid doit muter sans cesse jusqu’à retrouver son statut d’origine, ainsi que l’a expliqué le Pr Luc Montagnier décédé le 8 février 2022, l'histoire sera sans fin.

Pour chaque mutation épidémique  il faut logiquement un nouveau vaccin, mais on n’a jamais pu isoler le virus C19.

L’Afrique qui s’est dissociée délibérément des recommandations de l' OMS depuis le départ, a été très peu touchée par cette pandémie, non pas virale mais vaccinale et utilise massivement l’artémisia annua millénaire.