LE SAINT ESPRIT OU ESPRIT DE TOUTE CHOSE

pour l'étudiant en Hermès

 

Luc Ill, 21. :

"Or comme tout le peuple était baptisé, Jésus, baptisé lui aussi, priait; alors le ciel s'ouvrit ; l'Esprit-Saint descendit sur Jésus sous une apparence corporelle, comme une colombe ".

 

 

                          

Colombre pentecote

C'est à partir du grec que nous allons essayer de comprendre le sens du symbole de la colombe qu illustre la descente de l'esprit saint sur le monde et sur le dénomé JESUS lors de son baptème dans le jourdain, étant donné que c'est bien dans la langue grecque  que nous sont parvenues les copies les plus anciennes du Nouveau Testament.

Il est important de noter  que l'épisode du Baptême de Jésus se situe en un siècle où les rapprochements phonétiques étaient courants dans une aire linguistique hébro-gréco-romane, ce dont il est important de s'interroger dans les recherches étymologiques. 

En grec, il y a un mot, kolymbos (colombos colymbus), qui désigne un oiseau aquatique : le plongeon (huart, arctique, imbrin, catmarin.....).l'oiseau appelé "plongeon" dont le nom provient du verbe plonger = kolymbao grec, le kolymbos, colymbos ou kolimbis a donné en langue latine "mergus", de mergere = plonger, qui caractérise ce même oiseau de la famille des colymbidés. 

C'est pourquoi il est possible de penser que c'est bien le mot "kolymbos"qui signifie "plongeon" qui s'est trouvé le plus proche pour décrire la descente dite matérielle de l'Esprit Saint.
Cette "descente" étant semblable à un oiseau plongeant qui  traîne derrière lui une colonne de feu (columna : colonne et aster: météore ou parfois lumière).
C'est peut être ce mot qui a été, à l'origine, choisi par les témoins du Baptême du dit "Jésus".

En effet, l'iconographie chrétienne représente davantage la descente de l'Esprit Saint sur le Messie à la façon d'un oiseau plongeant, ou plus précisément d'un "columbos".

Il est  semblable à un pigeon ou à une colombe, que l'on imagine souvent s'élevant dans les airs que descendant tête première, un peu comme pourrait le faire un faucon tête pointée vers le sol. 

Toutefois dans les versions grecques les plus anciennes du Nouveau Testament, ne se trouve apparemment pas ce mot kolymbos ou colymbos, mais le mot "péristéra".

"Péristéra" est le nom d'une nymphe d'Aphrodite  (ou Vénus pour les romains) qui a été changée en volatile par Eros dans la mythologie grecque et désigne un oiseau de la famille des colombins

Dans la fable de la colombe du côté Romain, Vénus accepte l’aide d’une nymphe qui porte le nom de "Péristéra" (ou colombe en grec) avec l’intention d’obtenir la victoire sur Cupidon plus rapide qu’elle dans la cueillette des fleurs grâce à ses ailes. Pour atténuer la vengeance de Cupidon, qui a métamorphosé la nymphe en colombe, Vénus la prend sous sa protection.

Cette péristéra a donné plus tard l'ancien français péristère (bas latin peristerium), qui désigne aussi un genre de pigeon, type des péristérins, propres à l'Amérique tropicale.

C'est tout de même le mot "columbos" qui semble avoir donné en latin "columba". Le mot traduit par colombe désignerait donc le volatile (pigeon) mais aussi un oiseau qui a la particularité de plonger afin de poursuivre les poissons dans l'eau ; une espèce de palmipède ayant un plumage qui ressemble à une fourrure hydrofuge et demeurant habituellement au bord des mers boréales et pouvant hiverner jusqu'au bord de la Méditerranée.

Pourtant, on ne comprend pas de manière évidente comment on a pu passer du grec columbos (plongeon) au latin columba (colombe), ou de cet oiseau palmipède à un volatile de la famille des pigeons, sachant que que le grec connaît le mot "péristéra" pour désigner la colombe, précisément. 

Toutefois, en latin, on a eu de ce fait, pour désigner la colombe, à la fois le mot columba et peristerium.

Mais il existe aussi un autre mot latin columbus ou colombus qui désigne le pigeon mâle ou tourtereau. Il apparaît  comme probable que kolymbos, colymbos, kolimbis, a engendré de son côté columbus, columba, puis colombe en langue française.

Signalons aussi que kolonos, colonos grec signifie hauteur, colline et columna latin = colonne, comme palumbus latin vient de palus (pali) = colonne, poteau, et de palus (paludis) = marais.

L'étudiant en Hermès n'oubliera pas de noter que le colombin est un minerai de plomb ainsi qu'une couleur entre le rouge et le violet.

Ajoutons que péristia (grec) est une cérémonie lustrâle, un baptême.  En nous  penchant sur le mot "péristéra", synonyme de "phassa" qui se dit aussi phatta en grec, voisin de "fata", déesse latine des destinées (de fatum = destin) et de l'ancien français fata = fée (provençal fado), à rapprocher également de phasma (grec) dans le sens d'apparition, vision, phénomène céleste.

Verduere4

Notons  aussi que pêristêrion désigne à la fois une jeune colombe et la verveine («veine verte )Le mot verveine  en latin est "verbenaca" proche de "verbena" que certains lexiques traduisent aussi par "verveine" mais qui a surtout le sens particulier de rameau sacré d'olivier, de laurier ou de myrte porté en couronnes par les prêtres dans les sacrifices.

Le mot colombe contient tous les sens expliciterPeut être que cette colombe se révèle  être un conduit d'eau, ou  un endroit à travers lequel l'eau s'écoule un peu comme une tige verdoyante qui unit la terre au ciel, le bas et le haut de notre être.

Nous savons aussi qu'en hébreu, colombe se dit ionah, Jean se dit Johhânân qui signifie « remplir de grâce » et en grec IôannesAinsi apparaît toute la richesse du symbolisme de la colombe  apparaît puisque Jean, Johhânân, Iôannes, baptisa, par la cérémonie appelée "péristia", Jésus, sur qui descendit, à la façon d'un oiseau plongeon, un kolymbos, une colombe, une péristéra, une oené c'est-à-dire "ionah". Aucun mystère ni secret à part l'incompréhension de certains qui en font un mystère pour eux même et pour les autres.

Tout cela s'est soigneusement conservé, nous l'avons vu, dans la langue latine, avec les mots columba, colymbos, mergus, peristerium, et par la suite en ancien français, avec colombe, corymbe, péristère.

Le langage symbolique.

Le « fils de Science » ne doit pas manquer de faire des rapprochements avec le Grand-OEuvre d'Hermès.  Car, ce que sont les Eaux, sinon les ondes qui sont bien le véhicule de l'Esprit Universel ou l'esprit de toute chose en notre monde.

Nous retrouvons donc  associés lors du Baptême de Jésus, les eaux terrestres, les eaux célestes ou "ondes" et le Christ. 

La colombe se révèle être un conduit d'eau, un endroit à travers lequel l'eau s'écoule, une tige verdoyante qui unit la terre au ciel. 

L'étudian, en ALCHIMIE ou philosiophie hermétique peut facilement comprendre que la vision du colymbos n'est pas une fantaisie  imaginaire mais bien la traduction la plus adaptée, de l'événement que marque le baptême du dit  "Jésus" : "les Cieux s'ouvrirent et l'Esprit Saint descendit sur le Sauveur semblablement à un colymbos".

C'est cela le langage symbolique. Ce n'est surtout pas une manière poétique de décrire un évènement ; la poésie n'est pas symbolique mais proche du noyau psychotique que nous portons en nous, en tout cas elle semble nous éviter de nous y confronter par le "délire" poétique que certains d'entre nous osent appeler le langage du coeur (mais de quel coeur parle t'on ?!).

Précisons encore qu'il  existait en ancien français, un autre mot, colombe, venant,  du latin columna = colonne. 

En effet, l'on trouve  ce mot pour désigner un pilier, un pieu, comme l'on avait, parallèlement, le mot colon, colomb, venant du latin columba pour désigner le pigeon (colombe vers 1120), c'est-à-dire un oiseau.

Colombel (nom masculin) ou colombele ou colombelle (nom féminin) entre le XIIe etXVe siècle, signifiaient une petite colonne ou colonnette et colombete (nom féminin) au XIIIe siècle  = barque ou encore colombe ou columbe (XII-XV sièckle) = colonne, pilier, pieu, du latin columna.

colomb ou coulon ou colon (nm) (X-XVI) = pigeon, du latin columbum ou columbus = pigeon mâle ou tourtereau, sens éliminé par le mot colombe venant de columba. colombe (XIII) = solive pour colombage, ancienne forme de colonne due à une confusion entre columna = colonne, et columb = colombe.

Colombe = pigeon, du latin columba ; colombeau = petit pigeon, diminutif de colombe. Colombelle = petite colombe pour colonne = filet tendu entre deux colonnes.

colymbus = aujourd'hui, nom scientifique de l'oiseau « plongeon ». Corymbe ou colombe ou colombé (nom masculin) = bassin de natation, bassin pour laver le linge [columbum (latin)]: antiquités romaines), endroit où les eaux se jettent, égout, du grec kolumbos ou columbos, colymbos, kolumbis = plongeon.

Puis, par dérivation de sens  : colombe = être ou créature, habitant du colombé.

 

Couleuvre a collier 4
Vouivre

On remarque que sur un plan phonétique, le même mot colombel (petite barque, petite colombe, petite colonne) est attesté pour désigner, en une époque où l'écriture n'était guère répandue auprès des individus (remarquez qu'en l'an 2017 ce n'est pas beaucoup mieux par rapport au nombre d'individus sur terre), à la fois quelque chose qui repose sur l'eau, un oiseau, et une colonne (idée : d'Axis Mundi reliant la Terre au Ciel). 

Les enfants d'Hermès (étudiants en philisophie hermétique/alchimie), attesterons avec précision "l'Esprit Universel", son rôle et son mode d'action dans notre phère psychique et inconsciente, ainsi que la descente de l'Esprit Saint sur "l'Emmanuel", c'est à dire sur le Verbe et plus précisément  sur le Vert. Vous voyez que ce n'est pas très compliqué , mais en tout cas très éloigné des croyances au surnaturel et de toutes autres philosophies déïque, doctrine  affirmant l'existence d'un seul dieu et de son influence dans tout l'univers.

Nous connaissons aujourd'hui quatre mots latins qui servirent à désigner les ophidiens et qui sont à l'origine des mots français correspondants.  Il s'agit de :

-serpens,

-vipera,

-draco

-colubra,

c'està-dire serpent, vipère, dragon et couleuvre.

Toutefois il demeure une énigme qui longtemps préoccupa  les chercheurs qui se penchaient sur la mythologie française, et les légendes du haut Moyen Age. 

Il s'agit de toutes les fées qui sont susceptibles de revêtir la forme humaine et la forme serpentine, c'est-à-dire toutes les guivres, wivres, vouivres, vèvres (du latin « vipera ») du panthéon gallo-romain. 

Il s'agissait, vious l'aurait reconnu, à ce que en savons approximativement, d'êtres féminins, habitant les fontaines (les fons) et qui se dirigeaient grâce à l'escarboucle étincelante qu'elles portaient au front. c'étaiozent des serpentes plus que des femmes-poissons ou sirènes.

Serpentes car serpens signifie rampant. Ces vouivres étaient les épouses, les soeurs ou les filles des dragons de la terre, serpents gardiens des trésors enfouis au coeur de l'empire souterrain de la nuit. 

Mais leur nature, si elle est aquatique, est aussi aérienne puisqu'elles avaient le pouvoir, une fois métamorphosées en serpents, de s'envoler dans les airs, de voler.

Nous savons qu'en Grèce, la vipère (latin vipera) fut Echidna dans la mythologie, mi-serpent, mi-femme, proche parente d'Érechthée, le protecteur fabuleux de l'Attique, divinité chthonienne, mi-homme barbu, mi-serpent et qui tient du dragon, le draco grécolatin,  ou wurm allemand, le drache, le drake anglais. 

La toponymie qui désigne certaines rivières sous les noms de Wurm ou Drac (en Dauphiné, par exemple), en désigne aussi sous le nom de Coulobre (en Provance, le nom du dragon qui sort de la, Fontaine de Vaucluse), ou Touloubre, rivière passant au pied du château de La Barben près de Salon-de-Provence (départ du 13), venant d'Aix-en-Provence et allant se jeter dans l'étang de Berre.  Nous retrouvons ici la transformation : colubra (latin) - coluber - coutobre - couleuvre.

L'archétype primordial à toutes ces vouivres est la fée Mélusine de la mythologie française. 

Donc un lien s'établit entre un personnage féminin plus, ou moins mythique et la colombe .Colombe est donc, dans nos récits légendaires et folkloriques, le synonyme de femme-sirène, draga ou femme-serpent,  et nsi vous préférez de Mélusine. Mélusine fut trouvée dans la forêt de Coulombiers.

Cette égalité draga = colombe se retrouve encore ailleurs et devient wivre = colombe. 

Selon les diverses gtraditions, les trésors enfouis dans des fontaines, kles puits ou sous les mégalithes, sont gardés par des wivres.... La probabilité est devenue une certitude : les êtres serpentins du type Mélusine sont souvent étiquetés du nom de Colombe.

Dernière énigme à résoudre . Comment a-t-on pu identifier et confondre le serpent et la colombe, c'est-à-dire passer de l'un à l'autre , et par quelle croyance ou fantasmatique ?

Il existe un autre mot latin que serpens, visera ou drago pour désigner l'ophidien, il s'agit de colubra qui donna en français couleuvre.

Ishtar goddess

Nous percevons un passage phonétique hautement probable de colubra à columba  par la chute de la consonne liquide "r" après la labiale "b". D'où colubra coluba, puis par la nasalisation de la voyelle u devant la labiale b, c'est-à-dire coluba, ou columba.

Il peut être aussi envisagé une autre transformation possible : de colubr, colorba, par métathèse (modification phonétique) des lettres br, puis colorba,  colorbe, colombe ou colorba, colobe.

Le serpent peut  donc se transformer en colombe puisque le serpent ou wouivre est bien, nous venons de le voir, l'être du colombé, c'est-à-dire la colombe, en sorte que l'on peut dire que toute vouivre est un serpent-oiseau.

Nous pouvons affirmer, après tous ces rapprochements, que le symbole est bien ici le même qui veut que la descente de l'Esprit Saint sur le Fils de Dieu revête la même apparence physique que le Spiritus Mundi lors de sa manifestation et qu'il se corporifie dans le microcosme minéral de l'Alchimiste, enfant d'hermès, sous l'aspect de la vouivre Mélusine.

Notre dame de breac ellis brennilis

Constat est fait que c'est  bien un aspect de la religion et même de la christianisation avec des valeurs  de crainte, de morale vertueuse, d'âme chargée d’un poids de souillures corporelles et terrestres, de condition humaine  privée de la pureté et de la simplicité divine et le passage de l’inquisition, qui a diabolisé la queue de serpent de Mélusine ou sainte vierge et sa métamorphose en dragon volant.

Puis on en arrivera facilement à affirmer qu'il convient d'être délivrer de forces négatives et régressives et qu'il est souhaitable de libérer les énergies "ascentionnelles de l'esprit" (belle résistance en fait pour ne pas s'intéresser à l'essentiel qui n'est pas toujours très lumineux,  Dieu et la délivrance sont toujours situés au ciel par ceux qui ont peur de leur éléments souterrains ou inconscient). Pour cela aucune descente aux "enfers" n'est permise...surtout pas ! et pourtant c'est bien le seul chemin pour se reconnaître).

Parallèlement à ce folklore et ses suspertitions religieuses d'un autre temps, le catholicisme lui substitue le culte de sainte Venice représentée, surtout sur les vitraux des églises normandes, se baignant habillée, dans un baquet, mais sans queue de serpent !

Comme quoi on a vitre transformé les choses. Vous connaissez la suite......

L'immaculée conception de Marie est un point de foi du dogme catholique et orthodoxe, dont la dévotion est apparue surtout aux Xe et XIe siècles, et qui a ensuite été mis en avant par les franciscains, surtout après le XIIIsiècle. Son dogme a été finalement précisé par l'église catholique le 8 décembre  1854 par Pie IX. 

Le serpent étant le premier cité dans l'Histoire Sainte. Son image, en général associée à la femme, est le symbole de la tentation.

La "vierge au serpent" est une image récurrente dans l'iconographie chrétienne.  Marie est souvent dépeinte avec un serpent à ses pieds. 

Mais qu'elle stupéfiante  représentation de la Vierge à l’Enfant dans l'église de Bre nnilis. 

Notre-Dame de Bréac Ellis avec, à ses pieds, la femme à queue de serpent(en photo ci dessous, la statue du début du XVIe siècle (Finistère).

Notez que la queue de la Serpente rejoint en arrière la tresse de la Vierge, sans qu'on puisse faire la distinction entre l'une et l'autre.

Quand elle a été  descendue de son socle,  il a été constaté  que la queue  de la jeune païenne rejoint en arrière la ligne médiane du corps, qu'elle remonte ensuite. De la chevelure de la vierge ou"Mère de Dieu" descend une tresse le long de la colonne vertébrale. Cette tresse vient s'unir à l'appendice de la  déesse, en sorte que les deux  se confondent sans que la distinction puisse être faite entre l'un et l'autre .

Cette statue placée dans une niche à volets représente la Vierge à l'Enfant qui semble écraser une démone ou Ève tenant une pomme (ou la Mary-Morgane). Les panneaux des volets représentent l'ange de l'Annonciation, sainte Geneviève, la Vierge de l'Annonciation et sainte Apolline tenant l'une de ses dents au bout d'une longue tenaille.

Brennilis est, dans le Finistère, à l’entrée du Youdig, les portes de l’enfer, là où fut construite, sur le lac Saint-Michel, la première centrale nucléaire (que la vie est curieuse et que les incultes sont nombreux en ce monde).

Ci dessolus : Notre-Dame de Bréac Ellis avec à ses pieds la femme (vierge) à queue de serpent :

                                                                      Brennilis2 1

                                                                  Brennilis1 1

Les unes (déesses lunaires) sont devenues des fées,  un phénomène assez courant, après l'arrivée du christianisme. 

La lune dans les cultures païennes présidait à la divination, à l'art de prédire le destin.

Les mots fée, fairie, fada, fadet, fates, sont issus du mot latin « fatum », soit destin, lui-même issu du gaulois ovates.  Les ovates étaient bien les devins dans les grades des druides. 

La baguette magique, c'est ce qui reste du culte de la fertilitéde la fécondité, de la magie des déesses lunaires. 

Les anciens dieux sont longs à mourir (comme Mithra qui continu à vivre dans l'image de jésus-christ), les anciennes déesses lunaires aussi.

Ani est toujours Ainé,  Morgwen est devenue Morgan en Grande-Bretagne, quant à Belisama, elle devient tout simplement Mélusine.

La Mère Universelle ayant été souvent représentée avec un buste de femme ou d'homme et une queue de serpent dès les temps les plus anciens au quatre coins du monde.

AINSI SOIT-IL